Voici l'histoire de la figurine d'Aila… sans fantaisie !
Afin de récompenser les internautes les plus généreux participant à l'opération de crowdfunding de mai-juin 2014, il est apparu judicieux d'offrir une figurine aux plus généreux.
Attention, le but recherché n'est pas de faire de superbes photos avec une faible profondeur de champ et un joli fond, c'est uniquement dans un but d'illustration pour aider le futur infographiste à créer la modèle. D'ailleurs, s'il y a des amateurs…
Aujourd'hui, dimanche 4 mai, les choses sérieuses débutent : la campagne de financement participatif est lancée, notre engagement à livrer une figurine (mais qui a bien pu avoir cette idée ?) est donné et surtout les discussions (du pur brainstorming) avec l'éditeur et les membres de la famille pour accomplir cette première mission — Ah, si seulement Aila était avec nous — vont bon train, entre la stratégie à suivre, la satisfaction des donateurs et les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. Heureusement que l'éditeur maîtrise tous ces concepts et participe avec entrain à l'opération. Juste une question pour les auteurs : Est-ce aussi le cas avec vos propres éditeurs ?
Revenons à la source de l'idée qui était de faire plaisir aux amateurs de fantasy : ils sont souvent sensibles/attachés à leur héros ou héroïne préféré ainsi qu'aux autres personnages principaux de leur saga. Les figurines sont à la mode et l'idée de voir Aila nous plaisait bien. Pour des raisons pécuniaires et sur proposition de l'éditeur UPblisher, nous nous sommes tournés vers des impressions 3D en résine. C'est simple, rapide et ne nécessite aucun stock, car nous ne savons pas combien il faudra en fabriquer. Ceci dit, le modèle n'existe pas et c'est ainsi que d'autres difficultés encore plus grandes commencent :
Après de nombreuses idées et de multiples solutions envisagées comme en témoignent les approches ci-dessus, nous avons retenu une position avec trois points d'appui sur le sol afin d'assurer la stabilité. Cela pourrait nous éviter un socle.
Les vêtements (sans aucune couleur pour le modèle qui sera imprimé) sont ceux qu'Aila porte lors des épreuves pour la sélection de la garde rapprochée du roi Sérain d'Avotour (dans le tome 1). La tenue du défi à la Terre entre Aila et Hang (tome 2) a été évoquée et n'a pas été retenue (trop sexy, peut-être).
Nous sommes désormais à la recherche d'un imprimeur et d'une personne qui maîtrise les logiciels en trois dimensions.
La question qui reste en suspens est : Va-t-elle plaire aux lecteurs passionnés par la saga d'Aila ? Réponse une fois que nous aurons les retours après distribution auprès de ceux qui auront versé au moins 150 euros.
Un infographiste (Julien Audebert) s'est porté volontaire. Il nous aide désormais à bâtir la figurine (en fait, c'est lui qui fait le travail le plus important entre nos idées qui changent, nos réactions à ses propositions, l'activité avec ses logiciels et le temps nécessaire en plus de son travail d'animation) pour que l'imprimeur puisse la fabriquer.
Coup de chance, le même jour, l'éditeur a trouvé un imprimeur 3D qui peut aussi nous assister avec des conseils qui, de facto, passent immédiatement jusque dans les doigts habiles de Julien.
Il a retenu une image existante et commence à la modifier pour la faire ressembler à la position retenue ci-dessus. Quelques points n'ont pas encore été élaborés : la natte dans les cheveux, la position des mains et du kenda, le visage, les yeux…
Les autres détails (chemisier, extrémités du kenda…) seront abordés au fur et à mesure de la construction du modèle.
L'éditeur discute taille et prix avec l'imprimeur pour gâter au mieux les généreux internautes sans que le budget personnel de l'auteure soit trop impacté. En effet, dans les campagnes habituelles, ce sont les donateurs qui financent eux-mêmes les cadeaux ! Cette démarche ne convenait pas à la romancière qui estime que c'est à elle de fournir les cadeaux pour remercier les donateurs.
La difficulté sera de reproduire (si possible) les plis et les textures des vêtements sur le modèle 3D.
Tout d'abord, un grand merci à Julien Audebert, l'infographiste qui fait tout ce travail.
À la suite des premiers commentaires de la famille et de l'éditeur, quelques défauts ont été corrigés, la natte (trop longue) a été dessinée.
Les discussions autour de la présence ou non du socle vont bon train, qu'en pensez-vous ?
Le plus difficile va être de mettre les vêtements sur la figurine pour qu'elle conserve un air naturel.
Ce n'est que le début
La suite au prochain épisode…
Hélas, personne n'a contribué à hauteur de la figurine et le projet a été abandonné !
Julien Audebert continue son travail (en plus de son boulot), c'est sympa.
Nous sommes maintenant proches de la fin (qui doit correspondre avec la fin de la campagne de financement participatif).
Nous avons deux propositions, avec ou sans socle. A priori, sans socle serait plus élégant, mais il faut s'assurer de la stabilité. Rien de plus énervant qu'une figurine qui tombe sans cesse.
Quelques derniers détails à régler comme :
Attendons les derniers réglages…
Nous aurions voulu en avoir une pour le Salon du livre de Sartrouville ce dimanche, mais ce ne sera pas possible. Il aurait été intéressant d'écouter les réactions des lecteurs de la saga de fantasy.